Recherche sur un vaccin contre les infections urinaires
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Projets de recherche en cours
Différents projets de recherche sont actuellement menés par les structures spécialisées de soins palliatifs sur les thèmes de :
- L’introduction précoce des soins palliatifs chez les patients atteints de BPCO
- Les soins palliatifs en établissement médico-social (projet PACE)
- Pronostic et besoins en soins palliatifs des personnes âgées confinées à domicile
- Troubles du comportement en EMS
- Motifs de suicides chez les personnes âgées
- 6th SenSe : Un dispositif digital pour la détection de la douleur chez les personnes atteintes de démence et non communicantes
- Intervention centrée sur la dignité des personnes avec un cancer avancé : revie +
- Utilisation Intranasale Dexmedetomidine lors de procédures de soins
- Processus et critères d’admission aux soins intensifs de patients souffrant d’une maladie grave
- Validation française de l’ipos (Palliative care Outcome Scale) (collaboration)
- Respect de l’autonomie des patients en situation palliative dans les hôpitaux de soins aigus (collaboration)
Conférence sur le don d'organes: "Suis-je vraiment mort?"
Jeudi 14 septembre 2017 - Journée du service de transplantation
- Journée scientifique: 14h00 - 18h00 à la salle Opéra
Programme en deux parties 1. Recherche aux HUG dans le domaine de la transplantation 2. Obésité qui touche les patients en attente d'une transplantation d'organes. - Soirée grand public: 18h45 - 20h30 à l'auditoire Jenny
Don d'organes: "Suis-je vraiment mort?" en présence d'Isabelle Moncada et de nombreux médecins et professionnels qui abordent cette question.
Suivre la conférence Don d'organes: "Suis-je vraiment mort?" en live sur notre page Facebook
Du 6 au 12 septembre - Stands d'information sur le don d'organes et la transplantation
- Mercredi 6 septembre, 9h30-17h, hall d'entrée de la pédiatrie
- Vendredi 8 septembre, 9h30-17h, entrée principale de Cluse-Roseraie
- Mardi 12 septembre, 10h30-18h30, Hôpital de Bellerive
Ces stands sont tenus par les équipes du don d'organes et celles de la transplantation. Profitez de cette occasion pour remplir votre carte de donneur, poser vos questions...
Vous ne souhaitez pas attendre pour remplir votre carte de donneur?
Vous pouvez la remplir en ligne et n'oubliez pas d'en parler à vos proches.
Conférence sur le don d'organes: "Suis-je vraiment mort?"

Jeudi 14 septembre 2017 - Journée du service de transplantation
- Journée scientifique: 14h00 - 18h00 à la salle Opéra
Programme en deux parties 1. Recherche aux HUG dans le domaine de la transplantation 2. Obésité qui touche les patients en attente d'une transplantation d'organes. - Soirée grand public: 18h45 - 20h30 à l'auditoire Jenny
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Du 6 au 12 septembre - Stands d'information sur le don d'organes et la transplantation
- Mercredi 6 septembre, 9h30-17h, hall d'entrée de la pédiatrie
- Vendredi 8 septembre, 9h30-17h, entrée principale de Cluse-Roseraie
- Mardi 12 septembre, 10h30-18h30, Hôpital de Bellerive
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Innovation
La science avance grâce aux HUG qui favorisent l’innovation et les progrès médicaux en lien avec l’Université
Recherche![Innovation - Chiffres clés 2016 à Genève aux HUG]()
Budget global de la Faculté de médecine de l’Université de Genève :
- 178.2 millions dont :
- 95 millions du Département de l’instruction publique
(Etat de Genève)
- 28.8 millions du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS)
- 54.4 millions de fonds privés
- 231 groupes de recherche
1’268 articles publiés dans des revues à politique éditoriale
Brevets
- 1 famille de brevets commercialisée
- 1 spin-off
Franc succès de la journée 2017 de la recherche clinique

Dix ans après la création du Centre de Recherche Clinique (CRC) des HUG et de la Faculté de médecine de l'Université de Genève, force est de constater que la recherche clinique se porte bien, qu'elle se conjugue au féminin et que la relève est prête !
Le vendredi 12 mai, la 10ème Journée de la recherche clinique a été l'occasion de revenir sur l'histoire du CRC avec son fondateur, le Prof. Bernard Hirschel, aujourd'hui président de la Commission cantonale d'éthique de la recherche, et de dresser un bref bilan avec son président actuel, le Prof. Jérôme Pugin.
Un cadeau d'anniversaire...
Pour le Prof. Bernard Hirschel, "10 ans, c'est encore l'enfance, une période très agréable avant d’affronter les tempêtes de l’adolescence". Mais la perspective d'entrer dans l'adolescence n'effraie pas le Prof. Jérôme Pugin: "C'est un plaisir de célébrer ce 10ème anniversaire avec une recherche qui va bien et qui innove".
En effet, pour la première fois cette année, la journée a ouvert ses portes aux étudiants en médecine qui viennent de terminer leur master. Entre des projets présentés par des équipes des HUG et publiés dans des revues scientifiques, quatre étudiantes ont exposé leur travail de mémoire réalisé en binôme, l'un sur l'attachement parental chez les grands prématurés et l'autre sur l'utilisation du smartphone pour dépister le papillomavirus.
Autre innovation depuis le début de l'année: la mise sur pied d'une consultation multidisciplinaire donnant la possibilité une à deux fois par mois à de jeunes chercheurs de rencontrer, d'une manière informelle et gratuite, des experts pour démarrer du bon pied une étude.
Troisième bonne nouvelle tombée il y a quelques jours: l'attribution au CRC de fonds provenant du Secrétariat d'Etat à la formation, à la recherche et à l'innovation (SEFRI),. Cette contribution financière servira à engager des spécialistes pour renforcer des domaines qui seront essentiels vu les défis de la recherche demain : l'audit qualité, la méthodologie, les bioanques, etc.
La pharmacocinétique et la chirurgie reconstructive primées
Vingt projets étaient en lice pour le Prix 2017 de la recherche clinique. C'est l'article publié dans Clinical Pharmacology & Therapeutics par Niloufar Marsousi, Caroline Samer, Pierre Fontana, Jean-Luc Reny, Serge Rudaz, Jules Desmeules et Youssef Daali, qui a été primé. Cette recherche, menée au service de pharmacologie et toxicologie cliniques, décrit un modèle utilisant toutes les informations in vivo et in vitro disponibles pour prédire la réponse à un médicament et définir la dose pour des molécules très complexes.
Ce modèle, élaboré dans le cadre du traitement des risques cardiovasculaires chez les patients HIV, sera très utile dans certaines situations de soins où il n'existe pas d'études cliniques, par exemple chez les enfants, les femmes enceintes ou les personnes très âgées.
Quant au public, il a décerné le prix du meilleur poster à Eva Rüegg, Paul Gniadek, Seyed Ali Modarressi-Ghavami, Denise Baratti Mayer et Brigitte Pittet-Cuenod pour l'article publié dans le Journal of Cranio-Maxillofacial Surgery.
Ce projet, très en lien avec les activités humanitaires du service de chirurgie plastique, resconstructive et esthétique, montre les avantages et les résultats à long terme de l'emploi de tissus vascularisés dans la reconstruction osseuse du visage d'enfants ou de jeunes adultes.
Plus d'infos : Journée de la recherche 2017
Lauréats et organisateurs de la Journée 2017 de la recherche clinique avec, au centre, Niloufar Marsousi et la Dre Eva Rüegg.
La relève est prête avec ces quatre étudiantes en médecine : Roxane Naïmi, Celia Mach, Esther Urner et Martine Delavy.
Aider la recherche
Consentement pour la réutilisation de données et d’échantillons liés à la santé à des fins de recherche
Les HUG vous proposent d’aider la recherche biomédicale en autorisant l’utilisation de vos données médicales et de vos échantillons biologiques. Vous êtes libre de décider si vous voulez ou non participer à cette initiative. Ce site résume les principales
informations qui vous aideront dans votre choix. Prenez le temps de le lire. N’hésitez pas à nous contacter pour poser vos questions. Vous nous communiquerez ensuite votre décision par écrit sur le formulaire de consentement. Le consentement que nous vous demandons concerne votre prise en charge passée, actuelle et future aux HUG.
Un hôpital universitaire
Le dépistage et le traitement des maladies ont connu d’énormes progrès au cours des dernières décennies. Ces avancées sont le fruit de longues années de recherche biomédicale à laquelle médecins, scientifiques et patients ont activement participé. En tant qu’hôpital universitaire, les HUG abritent également une recherche de haut niveau pour le bien-être présent et futur des patients. Grâce à elle, nombre de personnes soignées dans notre hôpital ont bénéficié de progrès spectaculaires dans la compréhension et le traitement de leur maladie. Malgré cela, il reste encore des domaines dans lesquels les connaissances sur les causes, le diagnostic et le traitement des maladies pourraient être améliorées.
Des informations médicales précieuses
Lors de votre prise en charge médicale aux HUG, des informations relatives à votre santé sont récoltées : âge, sexe, résultats de laboratoires, maladies dont vous souffrez, traitements qui vous sont prescrits et parfois certaines données génétiques. De même, des échantillons biologiques – provenant de tissus, de sang et autres liquides corporels – sont souvent prélevés. Ces données et ces échantillons sont utilisés à des fins diagnostiques et/ou thérapeutiques.
Les informations médicales sont enregistrées dans votre dossier médical. Par contre, le matériel biologique est dans la majorité des cas détruit après le diagnostic et le traitement de la maladie. Pourtant, ce matériel, notamment lorsqu’il est associé à votre histoire médicale, peut s’avérer très précieux pour la recherche. Les chercheurs par exemple, pourraient l’utiliser pour améliorer le diagnostic d’une maladie ou pour mieux suivre la réponse à un traitement.
Une large participation nécessaire
Les projets de recherche ne peuvent être développés que si de nombreux patients acceptent l’utilisation, à des fins de recherche, de leurs échantillons biologiques et des données relatives à leur santé. Votre aide est donc très importante. Elle permettra aux chercheurs d’acquérir de nouvelles connaissances médicales et d’améliorer ainsi le diagnostic et les options thérapeutiques pour différentes maladies.
Comment pouvez-vous aider la recherche?
Il peut arriver un jour que vous ayez besoin d’être pris en charge aux HUG pour identifier la cause d’un problème de santé, passer un examen ou bénéficier d’un traitement médicamenteux ou chirurgical. En général, les équipes médico-soignantes recueillent des
informations sur votre état de santé présent et passé, et prélèvent si nécessaire des échantillons biologiques. Si vous y consentez, ces informations et échantillons peuvent être mis à disposition des chercheurs.
Que veut dire « données liées à la santé » ?
Il s’agit de toutes les données collectées dans votre dossier en vue de traiter votre maladie, comme les informations sur les facteurs de risques possibles, les résultats d’examens cliniques, radiologiques ou de laboratoire et les analyses génétiques. Il s’agit également des données décrivant le déroulement de la maladie et les réactions aux traitements administrés.
A quoi vous engage votre consentement pour la recherche ?
En donnant votre consentement par écrit, vous autorisez les chercheurs à utiliser vos données liées à la santé et vos échantillons biologiques à des fins de recherche. Ces derniers sont stockés dans une « biobanque » située aux HUG. Cette biobanque rassemble toutes les données et tous les échantillons des patients qui ont donné leur consentement. Tant que vous ne le révoquez pas, ce consentement vaut pour tous les projets de recherche à venir.
D’autre part, en donnant votre consentement, vous acceptez que vos données et vos échantillons soient transmis à des instituts de recherche avec lesquels les HUG collaborent. Vous n’êtes pas systématiquement informé lorsque votre matériel biologique et les données liées à votre santé sont utilisés pour des projets de
recherche ou transmis à une autre institution.
Comment obtenir des informations sur vos données et vos échantillons ?
A n’importe quel moment, vous avez le droit de consulter vos données médicales et de demander des informations concernant vos échantillons biologiques qui ont été inclus dans la biobanque des HUG. Vous pouvez faire cette demande par écrit (voir informations pratiques en dernière page). Vous avez également le droit d’être informé des projets de recherche biomédicale en cours aux HUG.
Protection de vos données
Où sont conservés vos données et échantillons si vous donnez votre consentement pour la recherche ?
Nous nous engageons à conserver vos données médicales et vos échantillons de façon sécurisée. Une réglementation spécifique a été développée pour la biobanque des HUG. Celle-ci stipule comment vos données et vos échantillons sont codés et régit de façon très stricte l’accès au matériel biologique et aux données stockés dans la biobanque.
Comment sont protégées vos données personnelles ?
Vos données et vos échantillons sont codés par les HUG avant d’être inclus dans la biobanque institutionnelle et d’être mis à la disposition des chercheurs. Coder signifie que votre nom, votre prénom et toute information permettant de vous identifier sont remplacés par un code (en général une combinaison unique comportant des chiffres et des lettres). De cette manière, les personnes ne connaissant pas ce code ne peuvent pas lier vos données à votre personne.
La loi sur la recherche sur l’être humain (LRH) autorise les autorités de contrôle et de surveillance de la recherche (Commission cantonale d’éthique pour la recherche et Swissmedic, l’institut suisse des produits thérapeutiques) à accéder à des données non codées, c’est à dire des données mentionnant le nom des patients ou permettant leur identification.
Les représentants de ces autorités sont eux-mêmes soumis au secret professionnel.
Que signifie l’anonymisation de vos données ?
Des données initialement codées peuvent être rendues anonymes en supprimant définitivement, et de manière irréversible, le code ou la clé de décodage (la correspondance entre le code unique et l’identité du patient). Après une anonymisation, le lien entre le
code et vous ne pourra plus jamais être retrouvé. Autrement dit, plus personne ne sait que ces données et ces échantillons sont les vôtres. Aux HUG, certaines données et échantillons inclus dans la biobanque sont anonymisés. Dans ce cas, vous ne pouvez pas demander leur destruction, car ils ne pourront plus être identifiés comme les vôtres.
Utilisation de vos données
Comment sont transmises vos données aux chercheurs ?
Tous les projets de recherche menés avec des échantillons et/ou des données médicales doivent être préalablement autorisés par la commission d’éthique cantonale. Les échantillons et les données sont transmis aux chercheurs uniquement s’ils sont codés ou anonymisés. Les équipes de recherche peuvent travailler dans des institutions suisses ou étrangères, comme des hôpitaux, des hautes écoles, ou des laboratoires privés. Toutefois, l’envoi des données et des échantillons à l’étranger nécessite que les pays concernés disposent d’exigences légales équivalentes à la Suisse en matière de protection des données. Le code permettant de vous identifier ne leur est en aucun cas transmis.
Que deviennent les résultats des recherches ?
Vos données et vos échantillons sont étudiés en recherche sous forme « groupée » avec ceux d’autres patients. Les résultats individuels ne sont pas analysés, car ils sont souvent peu ou pas pertinents pour un patient particulier. Donner son consentement
pour la recherche ne vous apporte donc pas de bénéfice direct personnel. Toutefois, si lors d’un projet de recherche, un résultat s’avère être très important pour votre santé, vous pourriez en être informé. Ces situations sont néanmoins très rares et les patients
ne sont en général pas informés individuellement des résultats de la recherche. En général, ceux-ci sont publiés dans des revues médicales et peuvent contribuer à améliorer votre prise en charge et celle de futurs patients.
Que se passe-t-il si vous ne donnez pas votre consentement ou si vous changez d’avis ?
Votre participation à ce projet est entièrement volontaire. Renoncer à y prendre part n’affectera en rien les soins dont vous pourrez bénéficier aux HUG. A tout moment vous pouvez changer d’avis, même si vous avez donné votre accord initial. Vous n’êtes tenu de justifier ni votre refus de participer ni un désistement éventuel. Si vous donnez votre consentement et changez d’avis par la suite, les données et les échantillons recueillis jusqu’alors ne pourront plus être utilisés pour la recherche (sauf s’ils ont été anonymisés).
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Projets de recherche en cours
Différents projets de recherche sont actuellement menés par les structures spécialisées de soins palliatifs sur les thèmes de :
- L’introduction précoce des soins palliatifs chez les patients atteints de BPCO
- Les soins palliatifs en établissement médico-social (projet PACE)
- Pronostic et besoins en soins palliatifs des personnes âgées confinées à domicile
- Troubles du comportement en EMS
- Motifs de suicides chez les personnes âgées
- 6th SenSe : Un dispositif digital pour la détection de la douleur chez les personnes atteintes de démence et non communicantes
- Intervention centrée sur la dignité des personnes avec un cancer avancé : revie +
- Utilisation Intranasale Dexmedetomidine lors de procédures de soins
- Processus et critères d’admission aux soins intensifs de patients souffrant d’une maladie grave
- Validation française de l’ipos (Palliative care Outcome Scale) (collaboration)
- Respect de l’autonomie des patients en situation palliative dans les hôpitaux de soins aigus (collaboration)
Conférence sur le don d'organes: "Suis-je vraiment mort?"
Jeudi 14 septembre 2017 - Journée du service de transplantation
- Journée scientifique: 14h00 - 18h00 à la salle Opéra
Programme en deux parties 1. Recherche aux HUG dans le domaine de la transplantation 2. Obésité qui touche les patients en attente d'une transplantation d'organes. - Soirée grand public: 18h45 - 20h30 à l'auditoire Jenny
Don d'organes: "Suis-je vraiment mort?" en présence d'Isabelle Moncada et de nombreux médecins et professionnels qui abordent cette question.
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Du 6 au 12 septembre - Stands d'information sur le don d'organes et la transplantation
- Mercredi 6 septembre, 9h30-17h, hall d'entrée de la pédiatrie
- Vendredi 8 septembre, 9h30-17h, entrée principale de Cluse-Roseraie
- Mardi 12 septembre, 10h30-18h30, Hôpital de Bellerive
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Du 6 au 12 septembre - Stands d'information sur le don d'organes et la transplantation
- Mercredi 6 septembre, 9h30-17h, hall d'entrée de la pédiatrie
- Vendredi 8 septembre, 9h30-17h, entrée principale de Cluse-Roseraie
- Mardi 12 septembre, 10h30-18h30, Hôpital de Bellerive
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Dr François R. Jornayvaz
Médecin adjoint agrégé-responsable de l'unité de diabétologie
Le Docteur François R. Jornayvaz est médecin adjoint agrégé et responsable de l’unité de diabétologie des HUG. Il est aussi Privat-docent à la faculté de médecine de l’université de Genève. Il est au bénéfice des titres de spécialiste FMH en endocrinologie-diabétologie et médecine interne.
Il a étudié la médecine à Lausanne puis s’est spécialisé en médecine interne puis endocrinologie-diabétologie à Lausanne, Genève et Paris. Il a ensuite accompli un fellowship de recherche durant trois ans à l’Université de Yale aux USA. C’est un ancien membre du comité de la Société Suisse d’Endocrinologie et Diabétologie. Il est actuellement membre du comité de la Fondation Romande pour la Recherche sur le Diabète.
Sur le plan de la recherche, il s’intéresse en particulier au lien entre stéatose hépatique non alcoolique et résistance à l’insuline. Il développe pour cela une recherche translationnelle allant de la culture cellulaire à la recherche clinique, dans une perspective orientée vers le patient.
Innovation
La science avance grâce aux HUG qui favorisent l’innovation et les progrès médicaux en lien avec l’Université
Recherche![Innovation - Chiffres clés 2016 à Genève aux HUG]()
Budget global de la Faculté de médecine de l’Université de Genève :
- 178.2 millions dont :
- 95 millions du Département de l’instruction publique
(Etat de Genève)
- 28.8 millions du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS)
- 54.4 millions de fonds privés
- 231 groupes de recherche
1’268 articles publiés dans des revues à politique éditoriale
Brevets
- 1 famille de brevets commercialisée
- 1 spin-off
Recherche translationnelle pour les troubles mentaux sévères
Groupe : Psychopathologie clinique et expérimentale
Chef du groupe : Prof. Stefan Kaiser
Membres du groupes :
Le groupe psychopathologie clinique et expérimentale (Pr Stefan Kaiser) se concentre sur les symptômes négatifs de la schizophrénie et d’autres troubles psychiques. Le groupe de recherche utilise une approche qui associe l’évaluation psychopathologique, les expériences comportementales et l’imagerie fonctionnelle. Son objectif est de développer des traitements biologiques et psychosociaux pour les symptômes négatifs et de conduire des essais cliniques.
Groupe : Syndrome métabolique et pathologies psychiatriques
Chef du groupe : Dr Othman Sentissi
Membres du groupes :
Le groupe syndrome métabolique et pathologies psychiatriques (Dr Othman Sentissi) a pour objectif de mieux comprendre les perturbations métaboliques des patients souffrant de troubles psychiques. La recherche se décline sur 3 axes: 1. La valeur prédictive des facteurs cliniques et biologiques de la perturbation pondérale et des complications métaboliques; 2 .La prévention de la prise de poids chez des patients traités ou non par les psychotropes; 3. La stimulation magnétique trans-crânienne pour des troubles psychiatriques tels que la dépression résistante, la schizophrénie ou les troubles du comportement alimentaire.
Le laboratoire d’imagerie translationnelle en neurosciences psychiatriques(Pr Nathalie Ginovart, Pr Philippe Millet) se concentre sur différentes activités de recherche en imagerie moléculaire.
Groupe : Dysfonctionnements neurobiologiques et addictions
Chef du groupe : Prof. Nathalie Ginovart
Membres du groupes :
Le Pr Nathalie Ginovart étudie les dysfonctionnements neurobiologiques à l’origine des comportements addictifs et des troubles comorbides comme les psychoses. L’objectif est d’identifier les facteurs de risques et substrats neurobiologiques prédisposant à l’addiction, de mieux comprendre les mécanismes physiopathologiques sous-tendant l’addiction, et de développer de nouveaux traitements. Ces questions sont abordées par une approche translationnelle réalisée sur des modèles animaux et chez l’homme par neuroimagerie.
Groupe : Neuroimagerie moléculaire en psychiatrie
Chef du groupe : Prof. Philippe Millet
Membres du groupes : Marouane Ben Ammar, Eniko Kovari, Pia Lovero, Maria Surini Demiri, Benjamin Tournier, Stergios Tsartsalis
Le Pr Philippe Millet développe différentes activités : 1. Préclinique: étude du mécanisme d’action des antipsychotiques atypiques, étude in vivo de la neuroinflammation dans des modèles transgéniques; 2. Méthodologique: développement d’approches quantitatives pour l’étude de différents systèmes de neurotransmission cérébrale et de neuroinflammation; 3. Clinique: étude des processus neuroinflammatoires dans différentes pathologies psychiatriques.
Innovation
La science avance grâce aux HUG qui favorisent l’innovation et les progrès médicaux en lien avec l’Université
Recherche![Innovation - Chiffres clés 2016 à Genève aux HUG]()
Budget global de la Faculté de médecine de l’Université de Genève :
- 178.2 millions dont :
- 95 millions du Département de l’instruction publique
(Etat de Genève)
- 28.8 millions du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS)
- 54.4 millions de fonds privés
- 231 groupes de recherche
1’268 articles publiés dans des revues à politique éditoriale
Brevets
- 1 famille de brevets commercialisée
- 1 spin-off
Recherche
«Clean Care is Safer Care»
En tant que Centre Collaborateur de l’OMS pour la sécurité du patient (WHOCC) et en association avec le groupe de l’OMS de la Sécurité du Patient, notre travail récent s’est centré sur l’évaluation de la charge des infections associées aux soins dans les pays à faible et moyen revenu avec l’objectif d’identifier et implémenter les mesures/solutions les plus faisables et efficaces pour la prévention des infections mondialement.
Cette stratégie est soutenue par deux tiers des Etats membres des Nations Unies et elle est actuellement active dans plus de 95% des pays dans le monde. Une fondation pour la prévention des infections associés aux soins dans les pays à bas revenu a été crée. Le livre Clean Hands Save Lives et le film Clean Hands décrit l’engagement et les accomplissements du groupe du Prof. Pittet dans ces domaines.
Prévention et contrôle des infections associées aux soins
Notre groupe développe et teste des approches multidisciplinaires et multidimensionnelles pour prévenir les infections associées aux soins, en incluant des outils innovants pour améliorer le respect de l’hygiène des mains et des pratiques de soins. Nous avons coordonné un projet à large échelle financé par l’Union Européen (PROHIBIT) pour améliorer l’implémentation de meilleures pratiques préventives à travers les hôpitaux européens.
Prévention et facteurs déterminants des infections associées aux dispositifs médicaux en réanimation
Nous investiguons les facteurs de risque et les stratégies de prévention multimodales pour diminuer les infections associées à l’utilisation des dispositifs médicaux, en incluant des nouveaux outils.
Contrôle de la résistance aux antibiotiques
Notre groupe conduit plusieurs études cliniques et épidémiologiques pour évaluer les questions clés en rapport avec le contrôle de l’acquisition, de la transmission et de l’infection par microorganismes multirésistants. Nous participons à plusieurs études à large échelle financées par l’Union Européen qui sont actuellement en cours (R-GNOSIS, Rapp-ID, AIDA, COMBACTE, DRIVE-AB) pour aborder cette importante menace à la santé publique.
Nous collaborons étroitement avec le Laboratoire de Recherche Génomique des HUG, et sa plateforme de recherche translationnelle. Les exemples les plus notables de nos recherches sont :
- l’évaluation des différentes interventions de contrôle des MRSA (JAMA 2008, BMJopen 2013);
- l’analyse avancée des tendances épidémiologiques et de la charge économique liés aux microorganismes multirésistants dans le secteur de la santé (JAC 2011, ICHE 2013; EuroSurv 2016);
- la direction des études épidémiologiques liant les données du patient avec les recherches moléculaires (Clin Infect Dis 2011, ICHE 2014; J Infect Dis 2016) et plusieurs essais cliniques randomisés, contrôlés contre placebo, pour décoloniser les porteurs de MRSA et BLSE (JAC 2013, JAC 2016).
Nouveau pôle de recherché d’excellence en partenariat avec Impérial College de Londres
Le service PCI a créé un nouveau pôle d’excellence et d’innovation en recherche dans le domaine de la prévention des infections à travers un partenariat avec Imperial College de Londres. Le Prof. Pittet est membre de la commission internationale de sélection pour les Centres de Recherche Translationnelle sur la Sécurité du Patient (Patient Safety Translational Research Centre), du département de Santé d’Angleterre et Pays de Galles pour soutenir les activités globales sur la sécurité des patients et la prévention des infections de l’OMS. PD Dr Walter Zingg est également affilié partiellement à Impérial Collège de Londres, en particulier dans le domaine de la science de l’implémentation des stratégies.
Activités dans la prévention des maladies tropicales
- Epidémiologie de noma en Niger
Le Prof Pittet est le président de GESNOMA (groupe pluridisciplinaire de recherche clinique sur le noma). La recherche se centre sur les facteurs de risque de noma et compare la diversité des bactéries buccales des enfants avec noma et des enfants contrôles dans la même région. Des stratégies de prévention seront testées à la suite des résultats obtenus dans la recherche actuelle.
- Activités en rapport à Ebola en Afrique de l’Ouest
Depuis le début de 2014, des activités de recherches au sein du service PCI ont donné beaucoup d’attention à Ebola. Des recommandations institutionnelles pour l’admission des patients victimes d’Ebola, le contrôle du risque de transmission et la sécurité des patients et des professionnels de la santé ont été intensivement révisés et mis à jour. Nous avons activement participé et donné notre support logistique à l’essai clinique du vaccin contre Ebola.
Projets de recherche internationaux
Innovation
La science avance grâce aux HUG qui favorisent l’innovation et les progrès médicaux en lien avec l’Université et Campus Biotech.
Recherche![Innovation - Chiffres clés 2017 à Genève aux HUG]()
Budget global de la Faculté de médecine de l’Université de Genève :
- 180.4 millions dont :
- 97,6 millions du Département de l’instruction publique (État de Genève)
- 29 millions du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS)
- 53,8 millions de fonds privés
- 223 groupes de recherche
902 articles publiés dans des revues à politique éditoriale
Brevets
- 2 brevets déposés
- 1 marque déposée