Une journée à l’hôpital, combien ça coûte ?

Toutes zones de soins et patients confondus, une journée à l’hôpital coûte en moyenne 1’581 francs. De 784 francs en réadaptation à 5’000 francs aux soins intensifs, le coût par patient* varie en fonction de l’utilisation du plateau technique et du type de soins.

5 à 8 %

De la perfusion au robot, du laser chirurgical au bistouri à ultrasons, les HUG comptent 37’670 équipements recensés d’une valeur totale de 317,5 millions de francs. Pour suivre l’évolution des soins et des technologies, ils ont dépensé 18 millions de francs en 2015.

50 à 95 % 

La part la plus importante des coûts correspond aux soins et à ceux qui les délivrent. Pour les HUG, les frais de personnel ont représenté 1351,4 millions de francs en 2015.

En moyenne 5 %

Une prothèse en titane, une seringue, un pansement, un implant, un produit radioactif, une poche de sang, un médicament : tout cela correspond aux charges médicales d’exploitation qui ont coûté 187,8 millions de francs en 2015.

5 %

Chaque patient paie 15 francs par jour comme contribution à ses frais de séjour (nourriture, logement). Cela est très loin de couvrir les coûts directs estimés à 122 francs par jour, dont 50 pour les trois repas, 25 pour le nettoyage et la maintenance des locaux, 15 pour les énergies (eau, électricité, chauffage) et 32 pour d’autres charges (blanchissage, fourniture de linge et surveillance notamment).

Au-delà des 549 millions de francs qui seront investis d’ici 2017 dans de grands chantiers, 20,8 millions de francs ont été dépensés en 2015 pour maintenir le patrimoine immobilier.

190 millions : c’est l’indemnité versée en 2015 par l’Etat de Genève pour que les HUG assurent la formation, pré-graduée et post-graduée, ainsi que la recherche clinique. A cette somme s’ajoutent des fonds privés ou publics tels que le Fonds national Suisse de la recherche scientifique ou la Fondation privée des HUG qui donnent du souffle à la recherche.

*Attention à ne pas confondre le coût d’une journée et son prix, c’est-à-dire le montant de la facture émise à l’assurance ou au patient. Le coût est en moyenne le double du prix facturé ; la différence est couverte par l’indemnité versée par l’Etat.

La formation est l’une des trois missions des HUG, aux côtés de la recherche et des soins. Aussi mettent-ils leur point d’honneur à contribuer à l’émergence de nouveaux professionnels, tant dans le domaine de la santé que dans les multiples métiers que l’hôpital recense.

600 médecins internes

Les HUG sont notamment un acteur essentiel du processus de formation du corps médical. En tant qu’établissement universitaire, les HUG ont établi un partenariat avec la Faculté de médecine de l’Université de Genève (UNIGE). Ils disposent d’environ 600 postes d’internes, réservés aux médecins ayant obtenu leur diplôme fédéral et désireux de se spécialiser. Chaque année, quelque 150 nouvelles recrues entament leur formation post-grade, encadrée par des professeurs de l’UNIGE et les médecins cadres des HUG.

800 professionnels de la santé en formation

En parallèle, les HUG forment chaque année quelque 800 professionnels de la santé. Ils collaborent étroitement avec la Haute école de santé (HEdS) pour offrir un enseignement pratique aux infirmiers, sages-femmes, physiothérapeutes, ergothérapeutes, diététiciens et techniciens en radiologie médicale.

Depuis 2012, l’apprentissage a également fait son entrée dans le monde des soins. Les HUG proposent, à ce titre, deux cursus différenciés : assistant en soins et santé communautaire (ASSC) en 3 ans pour un CFC et aide en soins et accompagnement (ASA), en 2 ans pour une attestation fédérale de formation professionnelle.

De plus en plus d’apprentis

Mais les HUG sont aussi là où on les attend moins. Cuisinier, informaticien, électricien, agent de propreté ou même peintre : l’institution propose des apprentissages dans des filières qui n’ont rien à voir avec les soins et qui reflètent la diversité des métiers de l’hôpital. En novembre 2015, un stand à la Cité des métiers organisée à Palexpo a permis au public de connaître cette large palette de possibilités. 

Cette politique incitative porte ses fruits. Le nombre d’apprentis n’a cessé d’augmenter ces dernières années. Ils étaient 58 dans 8 professions différentes en 2006. Ils sont aujourd’hui 173 dans 18 professions.

En savoir plus sur les apprentissages aux HUG.

2015 L'essentiel c'est vous !

Découvrez au fil de ce rapport d’activité les multiples avancées faites par les HUG 
pour améliorer leurs prestations et mériter votre confiance.

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La Journée 2016 de la recherche clinique aux HUG peut se résumer en trois chiffres: dix présentations orales, vingt-neuf posters et une conférence sur le développement de médicaments contre la malaria.

Le Prix 2016 revient à la Dre Angela Huttner, service des maladies infectieuses, pour deux articles publiés dans le New England Journal of Medicine et dans le Lancet Infectious Diseases sur les résultats de l'essai clinique du candidat vaccin contre le virus Ebola. Un prix qu'elle a partagé avec les Prof. Laurent Kaiser et Claire-Anne Siegrist, et avec les volontaires.

Quant au prix du public, décerné pour le meilleur poster, il revient à Magali Laidet, service de neurologie, pour sa recherche sur la variabilité de la marche dans la sclérose en plaques. Il a été reçu par le Dr Gilles Allali au nom de toute l'équipe.

Les Drs Gilles Allali et Angela Huttner, entourés de l'équipe du Centre de recherche clinique des HUG et de la Faculté de médecine de l'Université de Genève

Plus d'infos : liste des projets sur le site de la Journée de la recherche clinique 

Inscrivez-vous avant le 1er aout 2016! Booking before August, 1^st!

Mesdames, Messieurs, chers amis,

Après une première édition très réussie, j’ai le plaisir d’organiser notre 2e Picnic chic à Gstaad. C’est l’occasion de rendre hommage à mon fils Lionel, dans la joie et la bonne humeur !

Grâce à votre générosité chaque année renouvelée, nous pouvons, ensemble, soutenir la recherche médicale en faveur de nouvelles thérapies contre le cancer du cerveau.

Je compte sur votre présence, le dimanche 14 août 2016, à partir de midi, au Grand Bellevue de Gstaad.  Inscrivez-vous grâce au formulaire ci-dessous. 

Evelyne Pen de Castel, Fondatrice et membre du Conseil du FLP

Dear friends,

Following the success of our first edition, I am delighted to invite you to our second chic picnic in Gstaad. It will provide the opportunity to remember my son, Lionel, in a spirit of joy and happiness !

Thanks to your generosity each year, together we can lend our support to research into new therapies against brain cancer.

I am looking forward to seeing you, on Sunday the 14th of August, 2016, from noon, at the Grand Bellevue in Gstaad. Book a place at the chic picnic, formular below.

Evelyne Pen de Castel, Comittee Member FLP

1999 | Lionel Perrier s’éteint à 23 ans après 3 ans de lutte contre une tumeur cérébrale, l’oligodendrogliome.

2000 | Evelyne Pen de Castel, la maman de Lionel, crée la Fondation Lionel Perrier, reconnue d’utilité publique, qui a pour but d’améliorer la qualité de vie des patients atteints d’une tumeur cérébrale, d’apporter aide et soutien aux malades et à leurs familles et de soutenir la recherche scientifique et médicale. Pendant près d’une décennie, la Fondation a récolté des dons et legs en organisant des événements exceptionnels à Montreux, Gstaad et Genève. Elle a reversé près de 1,5millions de francsà différents laboratoires en Suisse et en France.

2011 | Impressionnée par les résultats obtenus par l’équipe du Professeur Pierre-Yves Dietrich, la Fondation décide de franchir une étape importante en offrant la totalité de son capital, 1 million de francs, au laboratoire d’immunologie des tumeurs des Hôpitaux de Genève (HUG).  

2015 | A l’occasion du 40e anniversaire de Lionel, sa maman décide de reprendre les activités autour du Fonds Lionel Perrier en organisant son 1^er Picnic chic à Gstaad.

Devant le succès de cet événement, la deuxième édition aura lieu le 14 août 2016 àGstaad.  Inscrivez-vous dès maintenant ici  

Responsable du laboratoire de recherche sur les lipides

Le Pr James est de nationalité Britannique, né en Pays de Galles. Il a fait ses études à l'Université de Bath, Angleterre, où il a reçu une diplôme (avec Honours 2:1) en Biochimie Appliqué (1973). Il a continué ses études pour un doctorat en partageant son travail entre l'Université de Bath et la station de recherche agricole de la compagnie Shell, à Kent, Angleterre.

Il a reçu son doctorat en Biochimie (1976) pour ses études sur les récepteurs neuromusculaires, notamment leurs potentiels comme cibles pour les insecticides.

Il a rejoint le Pr. Bernard Fulpius du Département des Sciences de l'Université de Genève en 1976 soutenu par une bourse de l'European Molecular Biology Organisation (EMBO). Ses études se focalisaient sur les implications des neurorécepteurs dans les maladies neurologiques et notamment dans la maladie de la myasthénie grave. En 1981, il a rejoint la Faculté de Médecine, Département de Médecine Interne pour travailler avec le Pr Daniel Pometta, tout d'abord comme chef-de-clinique scientifique puis maître d'enseignement de recherche (1989). Il a reçu son Privat-docent (Diabétologie) en 1993 et a été promu professeur titulaire en 2006.

Le Pr James est responsable du Laboratoire des Lipides du Service d'Endocrinologie, Diabétologie, Hypertension et Nutrition depuis 35ans. Le laboratoire fournit différentes analyses aux HUG dans le cadre de l'évaluation du risque de maladie cardiovasculaire chez les patients. Mais le laboratoire a surtout une très importante activité de recherche dans le domaine des lipides et maladies cardiovasculaires. Les travaux visent  d'un coté, les dyslipidémies et leur rôle dans le développement des maladies cardiovasculaires, notamment chez le patient diabétique. L'autre axe de recherche est de comprendre pourquoi les lipoprotéines appelées HDL, ou communément le "bon cholestérol" sont bénéfiques pour le cœur.

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Responsable de la recherche sur le métabolisme

Née à Genève, Françoise Rohner-Jeanrenaud obtient un doctorat ès Sciences (biologie) à la faculté des sciences de l’université pour un travail sur le contrôle hypothalamique de la sécrétion d’insuline.

Depuis lors, elle s’intéresse à la régulation neuroendocrinienne du métabolisme et aux altérations menant à l’obésité et au diabète de type 2, un domaine dans lequel elle établit sa recherche comme cheffe de groupe dans notre faculté. Elle est nommée  privat-docent de la faculté de médecine puis professeure ordinaire au Service d’endocrinologie, diabétologie, hypertension et nutrition du Département de médecine interne des spécialités des HUG. Elle est affiliée au Département de physiologie cellulaire et métabolisme.

Elle dirige la plateforme de phénotypage du petit animal de la Faculté de médecine.

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En version papier et électronique, le Rapport annuel de la Fondation privée des HUG revient sur les projets soutenus en 2015.

Il est à consulter en ligne, sur le site internet de la Fondation privée des HUG,

et est aussi disponible sur les différents sites des HUG.

Plus d'infos

Fondation privée des HUG
Hôpitaux universitaires de Genève
Rue Gabrielle-Perret-Gentil, 4
CH - 1211 Genève 14
+41 (0)22 372 56 20

fondation.hug@hcuge.ch

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À Zurich, le 26 janvier 2017, 25 jeunes chercheuses et chercheurs de Bâle, Bellinzone, Berne, Genève, Lausanne et Zurich ont fait preuve d'un inlassable esprit de recherche, de courage et de persévérance. Ils sont récompensés pour leurs travaux scientifiques remarquables. Le Prix Pfizer de la Recherche, l'un des prix de médecine les plus prestigieux en Suisse, est décerné chaque année depuis 1992 par la Fondation du Prix Pfizer de la Recherche, sur proposition de commissions scientifiques indépendantes, dans le domaine de la recherche fondamentale et clinique.

Les pédiatres Dre Christiane Eberhardt et Dre Geraldine Blanchard Rohner ont étudié la vaccination de la femme enceinte contre la coqueluche. Le transfert des anticorps maternel au fœtus est le seul moyen de protéger les nouveau-nés contre la coqueluche qui est souvent très sévère à cet âge, avec des décès fréquents. Elles ont conclu que cette vaccination devrait être effectuée plutôt au 2ème qu’au 3ème trimestre pour maximiser le transfert des anticorps aux nouveau-nés et pour éviter des vaccinations trop tard à la fin de grossesse. Cette étude a eu un impact remarquable au niveau mondial puisqu’à partir de nos résultats les recommandations en vigueur sont en train d’être modifiées dans d’autres pays, comme par exemple déjà fait en Grande-Bretagne.

Dans le domaine de la néphrologie, la Prof Sophie De Seigneux , le Dr Marie Courbebaisse et le Dr Alexandra Wilhelm-Bals  des Hôpitaux universitaires de Genève et de l’Université Genève ont également été primé pour leur travail. Le but de leur recherche était d’étudier si la protéinurie (les protéines dans les urines) modifie l’excrétion rénale de phosphate, expliquant le lien connu entre protéinurie et maladie cardiovasculaire. La présence d’une protéinurie est un facteur de risque cardiovasculaire connu. Ils ont démontré dans leur travail que la protéinurie contribuait à baisser l’excrétion rénale du phosphate ( et contribue donc à l’accumulation du phosphate) en se basant sur des données humaines et animales. Le phosphate étant toxique pour les vaisseaux, cet effet peut contribuer à expliquer pourquoi la présence d’une protéinurie est associée à un risque cardiovasculaire élevé, et pointe à des voies thérapeutiques.

Plus d'informations: Fondation du Prix Pfizer de la Recherche 

Le service des sciences de l’information médicales est un service de recherche et développement et de veille technologique qui se concentre sur 4 axes principaux : Les données en médecine, et notamment les données massives pour le soutien à la recherche, les interfaces hommes-machines avancées et les capteurs, la sémantique médicale et l’analyse de textes et finalement l’évaluation des interactions hommes-machines et le design par l’évidence.

Données cliniques

Des quantités croissantes de données médicales et personnelles sont disponibles menant à des défis technologiques, des défis éthiques et finalement des défis sociétaux.

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Evaluation, ergonomie

Le cœur de notre travail est de comprendre les obstacles liés à l'interaction homme-machine pour proposer de nouvelles approches mieux adaptées aux besoins des professionnels de la santé.

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Interfaces hommes-machines et capteurs

Dans les domaines des sciences de l’information l’expérience utilisateur est trop fréquemment reléguée au deuxième plan. Les programmeurs offrent généralement leur propre vision des outils qui malheureusement diffère de celle des utilisateurs finaux. Cette inadéquation n’impact pas seulement la satisfaction des utilisateurs mais peut avoir des conséquences bien plus fâcheuse vis-à-vis de la qualité des données récoltées ainsi que concernant l’adhérence des utilisateurs à long terme. C’est pourquoi au SIMED nous investissons un effort certain dans l’amélioration de l’expérience utilisateur. Cette amélioration s’effectue en offrant une place centrale aux utilisateurs dans le processus de design et de réalisation des outils.

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Sémantique médicale et analyse linguistique

Les aspects liés à la représentation de la connaissance, à la persistance temporelle de la sémantique et à l’interopérabilité de sources hétérogènes ont ainsi été au cœur de nos travaux.

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Le domaine médical est immergé dans la technologie de manière croissante, ubiquitaire et trop souvent sauvage. La conception des applications est malheureusement fréquemment motivée par une faisabilité technologique et une analyse du coût de développement plutôt que du coût d'utilisation, ce qui peut mener à des solutions qui ne prennent pas en compte les besoins effectifs des utilisateurs. Plus grave, les solutions déployées analysent rarement leurs impacts et conséquences sur les utilisateurs.

L’évaluation d’ergonomie complète donc naturellement nos activités de recherche et développement en nous apportant toute l’expertise et les compétences requises à l’évaluation, et notamment en termes cognitifs, mais aussi d’efficience et de sécurité.

Pour la réalisation d'études d'utilisabilité nous avons un laboratoire complet equipé (différents eye trackers, EEG, etc.) qui est situé dans le bâtiment principal des HUG (EVALAB). Le comportement des participants en laboratoire peut être enregistré avec des caméras vidéo télécommandées. Evalab peut être transformé pour simuler différents environnements d'utilisation fournissant l'infrastructure d'un laboratoire vivant.

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Membres de groupes

Jessica Rochat
Doctorante en psychologie cognitive et ergonomie
Jessica.Rochat@hcuge.ch

Thomas Weinhold
Ingénieur Facteurs Humains et Ergonomie
Thomas.Weinhold@hcuge.ch

Marzia Del Zotto, PhD
Collaboratrice scientifique
Marzia.delZotto@hcuge.ch

Projets

Bedside Mobility
Bedside Mobility est un projet visant à fournir un outil mobile aux soignants pour faciliter la gestion des tâches quotidienne qu’ils effectuent au lit du patient.

InfoKids
InfoKids est un projet mené conjointement avec le service d'accueil et d’urgences pédiatriques, il vise à améliorer la prise en charge des patients consultant au urgences pédiatrique ainsi que l’efficience du service.

InterFace
InterFACE est un projet visant à améliorer la communication d’équipe lors de situation de réanimation.

Palette V2
PaletteV2 est un projet européen AAL visant à engager les senior dans la poursuite de leurs activités professionnelles en fin de carrière (http://www.palettev2.eu/).

Useval-DM
Améliorer la qualité et les coûts de l'évaluation d'utilisabilité de dispositifs médicaux innovants

Des quantités croissantes de données sont disponibles.  Les données médicales, issues des dossiers patients informatisés et de la génomique, peuvent potentiellement être combinées à des données personnelles issues de biocapteurs, à des informations sur l’environnement, sur le com-portement.  Les enjeux sont immenses.  Des défis technologiques, liés aux volumes de données par exemple, mais surtout des défis scientifiques, comme la construction de la capacité à interpréter ces données, des défis éthiques, liés à la protection de la sphère privée, et finalement des défis sociétaux sur l’utilisation des résultats.

Membres de groupes

Dominique Baillon-Bigotte
Informaticien
Dominique.Baillon-Bigotte@hcuge.ch

Pierre Gilquin
Informaticien
Pierre.Gilquin@hcuge.ch

Projets

Cohortes cliniques
Environnement dédié à l'acquisition de données médicales normalisées et adapté à la gestion de cohortes de patients sur le très long terme