Quantcast
Channel: HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève - recherche
Viewing all 221 articles
Browse latest View live

Les HUG, une pépinière de talents

$
0
0

Depuis la création d’un bureau de l’Innovation - structure de la Direction médicale et qualité des HUG - en 2009 , de plus en plus de talents émergent au sein des HUG, dont certains se portent candidats au Prix de l’Innovation qui a lieu chaque année.

Une structure permanente et un grand événement annuel permettent aux collaborateurs des HUG travaillant sur un projet scientifique ou médical de trouver une aide précieuse pour aborder différentes étapes du développement d’un produit novateur : dépôt de brevet, élaboration d’un contrat de collaboration avec un partenaire privé, création d’une entreprise, promotion du produit. Véritable tremplin pour les initiateurs d’un concept, cet encouragement à l’innovation représente aussi pour les HUG une formidable opportunité de faire valoir l’expertise de leurs collaborateurs et d’affirmer leur position sur un marché de la santé toujours plus concurrentiel.

Le bureau de l'Innovation a pour mission d'offrir un accompagnement professionnel pour faciliter l'ensemble des démarches nécessaires à la progression de projets innovants initiés par des collaborateurs des HUG.

La direction des HUG a bien compris l’importance d’investir dans ce nouvel axe stratégique de développement. En collaboration avec des partenaires tels que le bureau de transfert de technologies et des compétences de l’Université de Genève (Unitec) ou encore la Fondation Artères, le bureau de l’Innovation des HUG suit actuellement une cinquantaine de projets et ouvre grand ses portes aux nouveaux venus. Les HUG invitent leurs collaborateurs à ne pas attendre la prochaine Journée de l’Innovation pour exprimer leurs talents et demander un soutien pour faire avancer leurs projets.

 Ils ont été soutenus par le Bureau de l'Innovation

  • ELIPS (pour accéder à la version mobile du site (iElips) - uniquement depuis iphone ou smartphone :  elips.hug-ge.ch/videos/mobile/ ) 
  • STEMERGIE
  • BARD1AG
  • CONTREPOIDS
  • POWERSENSE
  • 7CARECAT
  • RESEAU DOULEUR
  • et bien d’autres encore…



Journée de l'Innovation: à la rencontre du grand public et du monde économique

$
0
0

Lancée en 2007, la Journée de l'Innovation des HUG rencontre chaque année un succès croissant. Elle est une occasion de médiatisation des projets initiés par les collaborateurs des HUG et offre une passerelle entre le monde hospitalier et le monde économique.

A chaque édition, un Prix de l'Innovation est décerné, et deux autres projets sont récompensés par des trophées.

La sélection des lauréats est assurée par le comité scientifique de l’innovation. Sous la présidence du Pr Didier Pittet, ce comité réunit des représentants de nos partenaires privilégiés ainsi que des collaborateurs des HUG dont l’expérience en valorisation a été couronnée de succès.

Un jury  composé d'une quinzaine de membres – partenaires extérieurs, spécialistes en dispositifs médicaux, représentants du corps médico-soignant – détermine les trois finalistes après une première sélection opérée sur l'ensemble des candidats au Prix.

Le choix des projets primés se base sur des critères précis. Les deux plus importants sont le caractère innovant du projet et son potentiel commercial (ou développement potentiel). Viennent ensuite le bénéfice potentiel pour les patients et pour l’institution, la qualité scientifique (comme il se doit dans une institution académique telle que les HUG), la qualité de la présentation du projet devant les membres du jury.

Lors de sa 6eédition en 2012, la Journée de l'Innovation a permis une nouvelle fois aux cerveaux innovants de se faire mieux connaître du grand public et des partenaires de l’économie privée.

La 7e édition de la Journée de l'Innovation aura lieu le 17 octobre 2013.


Recherche et enseignement

$
0
0

Le centre de médecine de l'âge avancé met en oeuvre divers programmes de recherche.

Il contribue par ailleurs à la mise en place d'une formation postgrade multidisciplinaire en gériatrie et gérontologie. Il s'agira d'une formation interservices destinée aux médecins souhaitant accomplir une formation approfondie en gériatrie et obtenir un titre FMH spécialisé dans ce domaine.

Recherche et enseignement

$
0
0

Le Centre a pour mission d'organiser et promouvoir une formation postgrade multidisciplinaire en médecine génétique.

Dans le but de favoriser les projets de recherche et les échanges entre spécialistes, il souhaite développer un réseau de médecins et biologistes des HUG particulièrement impliqués dans la médecine génétique. La mise en place d'un colloque multidisciplinaire mensuel contribuera à ces échanges, ainsi que des projets communs en recherche clinique.

Il a également pour mission la mise en oeuvre de protocoles de recherche clinique.

 

 

La recherche pour sauver des vies

$
0
0

Le centre d'oncologie mène une importante activité de recherche qui fait partie intégrante de sa mission.

Ses domaines de recherche principaux sont les suivants:

Tumeurs du cerveau : l’espoir de l’immunothérapie

Les tumeurs du cerveau sont mal connues du public. Pourtant, elles sont la première cause de mortalité par cancer chez l’enfant, la troisième cause chez l’adulte jeune. Les traitements actuels ne parviennent pas à enrayer leur évolution qui est non seulement fatale, mais aussi dévastatrice. En effet, ces tumeurs se développent dans les zones du cerveau qui contrôlent nos émotions et nos sens ou encore nos capacités à marcher, parler, écrire, sentir, aimer, penser. Ainsi les malades de tout âge et leurs familles affrontent une double épreuve, celle d’une maladie cancéreuse fatale et celle de la dégradation de l’individu dans ses fonctions humaines, avec une perte de l’autonomie et des fonctions essentielles ou encore l’apparition de troubles du comportement.

Il est urgent de trouver de nouvelles stratégies thérapeutiques. La plus prometteuse est probablement l’immunothérapie dont le but global est d’exploiter les capacités naturelles de notre système de défense appelé système immunitaire. Au cours des dix dernières années, notre équipe a grandement contribué à comprendre comment notre système immunitaire peut nous défendre contre la croissance des tumeurs dans le cerveau et comment ce système de protection peut être mis en défaut par la tumeur. Notre objectif d’aujourd’hui est d’exploiter ces nouvelles connaissances pour développer de nouvelles stratégies de traitement applicables à l’être humain.

Deux approches complémentaires seront menées en parallèle chez les patients souffrant d'une tumeur au cerveau:

  • La vaccination, dont les premiers tests chez l’être humain débutent dans le monde grâce aux récents résultats obtenus à Genève. Nous avons en effet identifié 10 antigènes de gliomes, qui sont des fragments de protéines présents à la surface des cellules tumorales, mais peu ou pas à la surface des cellules normales du cerveau. Les lymphocytes T, cellules du système immunitaire, sont capables de reconnaître ces antigènes et détruire ainsi les cellules tumorales qui les portent, tout en épargnant les cellules normales (et minimisant ainsi les risques de toxicité). Ces antigènes sont actuellement utilisés dans une 1re génération de vaccins thérapeutiques afin de déclencher une réponse du système immunitaire qui cible sélectivement les cellules sans attaquer les cellules normales. L’étape suivante (déjà en développement) est d’exploiter cette piste et de « fabriquer » des vaccins personnalisés, c'est-à-dire différents pour chaque patient en fonction des caractéristiques précises de sa tumeur. Ce projet ambitieux entre dans le cadre d’un vaste projet européen dont l’étude clinique (pour les patients) sera coordonnée par Genève dès 2014.
  • La thérapie cellulaire, où l’on utilise les cellules comme un médicament, en préparant les lymphocytes au laboratoire afin qu’ils reconnaissent sélectivement la tumeur et qu’ils soient capables d’atteindre leur cible dans le cerveau après avoir été perfusés au patient. Cette deuxième approche est plus complexe, mais avec un potentiel thérapeutique remarquable.

Tous les ingrédients sont présents au sein des HUG pour assurer le succès de ce projet ambitieux. Tout d’abord, ce développement de tests chez les patients est soutenu par l’équipe de scientifiques qui dynamisent le laboratoire d’immunologie des tumeurs du service d’oncologie depuis plus de quinze ans. Ce socle scientifique permettra l’intégration rapide et constante de toutes les nouveautés conceptuelles dans les traitements en développement. De plus, le centre d’oncologie a récemment ouvert une unité dédiée à l’administration de nouveaux médicaments et aux premières étapes de nouvelles stratégies de traitement chez l’homme (deuxième de ce type en Suisse). Cette structure apporte la professionnalisation indispensable pour la réalisation de ces étapes initiales très délicates et demandant un savoir-faire particulier. Enfin, les HUG ont récemment ouvert un centre de thérapie cellulaire qui permet de préparer les cellules-médicaments dans des conditions très strictes répondant aux exigences suisses et internationales (1er centre en Suisse romande).

Il s’agit d’un projet ambitieux, qui cependant offre une réponse au formidable défi posé par les tumeurs du cerveau et apporte un espoir très concret aux patients souffrant de ce fléau et à leurs familles.

Responsables : Dr Paul R Walker et Pr Pierre-Yves Dietrich

                                                                        


 

Recherches cliniques pour une meilleure récupération

$
0
0

Plusieurs recherches cliniques sont en cours, auxquelles participent des patients du centre de médecine de l'appareil locomoteur & du sport, dans les domaines suivants :

  • Mise en place et validation de tests fonctionnels mesurant les performances neuromusculaires, dans le  but de garantir une meilleure sécurité lors de la reprise d'un sport après une blessure.
  • Utilisation de la console Wii - bien connue des amateurs de jeux vidéo - dans un contexte de rééducation suite à une entorse de la cheville.
  • Etude comparative de deux pratiques différentes afin de déterminer laquelle sera la plus efficace et la plus utile au patient: rééducation pré-opératoire d'une lésion du ligament antérieur du genou versus capacité de récupération post-opératoire.
  • Etude comparative de deux types de greffe d'un ligament croisé antérieur: au moyen d'un tendon rotulien ou quadricipital.
  • Efficacité du PRP (Platelet Rich Plasma) dans le traitement des lésions tendineuses liées au sport.
  • Recherche fondamentale sur la guérison du tissu musculaireau moyen des thérapies cellulaires, en particulier les cellules-souches, ainsi que du PRP.

Enseignement

Au niveau de la formation prégrade, des places de stage pratique de 1 ou 2 mois sont à disposition des étudiants dans le centre sous la supervision soit du Dr Jean-Luc Ziltener ou du Dr Jacques Menetrey.

Le centre intervient dans les cursus suivants :

  • APP 3e année: Module Introduction au système nerveux UIDC orthopédie AMC urgence cours de traumatologie (Science du sport de l'Université de Genève).
  • Cours à option de médecine du sport
  • Enseignement à la HES physiothérapie.

Le centre est aussi très impliqué dans l'enseignement postgrade de médecine du sport de la Société Suisse de médecine du sport. Dans ce cadre, un cours est organisé à Genève.
Le centre participe également à l'enseignement des physios du sport.

Le centre offre également une rotation de 6 mois en médecine du sport aux gens souhaitant obtenir le certificat de capacité en médecine du sport (SGSM-SSMS).

 

Certains médicaments de demain sont déjà prescrits à des patients

$
0
0

Chaque année, une dizaine de nouveaux traitements médicamenteux font leur apparition, alors que 150 sont déjà prescrits régulièrement. Il est probable que dans dix ans, les oncologues auront à leur disposition 300 à 500 nouveaux médicaments.

Les HUG sont fortement impliqués dans cette course aux nouvelles thérapies pour sauver des vies, à travers le travail exceptionnel de l'unité de recherche clinique en onco-hématologie, largement financée par la Fondation Dr Henri Dubois-Ferrière Dinu Lipatti.

Ces nouvelles molécules représentent un immense espoir pour les patients, à condition qu'ils puissent y avoir accès. C'est précisément ce que rend possible la présence de cette unité de recherche au coeur même de l'hôpital: en suivant des protocoles rigoureux, ces traitements très innovants peuvent déjà être administrés à des patients avec des résultats très prometteurs.

L'athérosclérose au coeur de la recherche

$
0
0

Le centre cardiovasculaire est engagé dans plusieurs recherches. L'une d'elles concerne la cardiologie au sens large et se penche sur le délicat problème de l'athérosclérose qui touche de plus en plus de patients avec des conséquences souvent graves.

Athérosclérose : l'éducation thérapeutique du patient

L’athérosclérose coronarienne et des artères cérébrales est la cause de mortalité la plus importante dans les pays industrialisés et sur l’ensemble de la planète. Elle représente près de 40% des décès. En Suisse, environ 10'000 personnes meurent de crise cardiaque chaque année, soit une toutes les cinquante minutes.

Les recommandations internationales dédiées à la prise en charges des patients souffrant d’athérosclérose, notamment d’un infarctus du myocarde ont contribué à uniformiser les traitements hospitaliers et à harmoniser les prescriptions médicales à la sortie de l’hôpital pour améliorer ainsi la qualité des soins et diminuer les récidives d’événements et les complications.
Cependant, malgré ces avancées thérapeutiques, un patient sur 7 présente une récidive d’événement cardiovasculaire fatal ou non fatal dans les 12 mois qui suivent l’infarctus.

Le chaînon manquant dans la prise en charge du patient est tout simplement : l’éducation thérapeutique du patient. En effet, l’éducation thérapeutique agit sur plusieurs dimensions personnelles qui influencent le comportement du patient face à sa maladie et à son traitement.

Afin de combler cette lacune, le service de cardiologie des Hôpitaux Universitaires de Genève a développé le programme ELIPS® (www.elips.ch) avec comme clé de voûte un film DVD traduit en plusieurs langues et une formation spécialisée du personnel soignant pour interagir avec le patient sur un mode d’écoute motivationnelle.

Une étude clinique impliquant tous les hôpitaux universitaires de Suisse (plus de 4'000 patients inclus) est en cours afin d’objectiver les retombées cliniques de ce programme et d’exploiter pleinement les progrès thérapeutiques dans le cadre des patients hospitalisés pour un infarctus, et ceci bien au-delà du cadre de l’hospitalisation, afin de réduire encore les récidives d’événements cliniques liés à l’athérosclérose.

Les prothèses biodégradables

La chirurgie cardiovasculaire a concentré ses efforts de recherche fondamentale sur l’utilisation des matériaux biodégradables dans le domaine cardiovasculaire. Le service spécialisé des HUG a dévelopé le premier anneau biodégradable qui a obtenu le marquage CE en 2005.
Cet anneau fabriqué à partir de polymère, polydioxanone, contrairement aux anneaux conventionnels qui existent déjà sur le marché, est implanté à l’intérieur de l’anneau mitral ou tricuspidien natif.  Après six mois d’implantation, l’anneau se dégrade progressivement en induisant un tissu fibreux qui fonctionne comme un anneau prothétique durable intra-annulaire.
L’avantage primordial de l’anneau biodégradable est le fait qu’il n’interfère pas avec la croissance de l’anneau mitral ou tricuspidien natif chez l’enfant en pleine croissance. Son utilisation ouvre de nouvelles possibilités de réparation dans la population pédiatrique souffrant de valvulopathies mitrales ou tricuspidiennes.
Contrairement aux anneaux conventionnels, l’anneau biodégradable ne nécessite pas d’anti-coagulation durant les 3 premiers mois post-implantation. Le fait qu’il soit démuni de tout matériel synthétique réduit considérablement le risque infectieux et sa flexibilité tridimensionnelle le rend également beaucoup plus facile à utiliser dans la chirurgie minimalement invasive ou robotique.

Le service de chirurgie cardiovasculaire progresse également sur la mise au point d’une  prothèse vasculaire biodégradable pour effectuer des pontages, dans des cas qui nécessitent l’utilisation de prothèse de petit diamètre.

Un troisième projet qui consiste à développer une prothèse valvulaire biologique est en cours. Les études expérimentales ont été achevées avec des résultats prometteurs sur le plan hémodynamique et l’étude clinique doit démarrer prochainement.  L’avantage de cette bio-prothèse par rapport aux bio-prothèses aortiques conventionnelles repose sur le fait qu’elle aura une performance hémodynamique similaire à des valeurs physiologiques même pour les petites tailles. 

    
Formation

Les services affiliés au centre cardiovasculaire (spécialités médicales) remplissent aussi une mission de formation, essentiellement au niveau postgrade.


Projets de recherche en soins

$
0
0
La Direction des soins a établi un agenda de la recherche afin de définir les axes prioritaires de la recherche en soins aux HUG, ainsi que de coordonner et guider les activités de recherche dans le domaine des soins.
 
Six axes sont définis:
  • la qualité et la sécurité des soins
  • la gestion des symptômes
  • l’éducation thérapeutique et les comportements de santé
  • les interventions novatrices
  • la translation des bonnes pratiques dans les soins
  • l’organisation et la dispensation des soins.
La direction des soins soutient le développement d’une recherche scientifique appliquée dans le domaine des soins orientée patient, proche ou communauté. Par recherche appliquée, on entend une recherche dont le premier but est de développer de nouveaux savoirs dont les résultats sont utilisables dans la pratique des soins.
 
La recherche en soins comprend:
  • les soins infirmiers
  • les sages-femmes
  • la physiothérapie
  • l’ergothérapie
  • la diététique
  • l’assistance sociale
  • la technique en radiologie médicale
  • l’animation
  • la psychomotricité
  • l’art thérapie.
Il s’agit d’une recherche relativement autonome qui est initiée et conduite par du personnel de soins. 
 
Pour favoriser le développement de la recherche en soins aux HUG, la Direction des soins peut s'appuyer sur :
  • Un secteur recherche et qualité dont l’une des missions est de soutenir les projets de recherche et de développement émanant des milieux de pratiques.
  • Un fonds de recherche qui permet de soutenir des projets émanant des milieux de pratique des HUG.
  • Un programme de développement de la vie scientifique au sein des HUG.

Projets en cours

Conception et pilotage de projets de recherche et qualité des soins
Objectif : amélioration et évolution des pratiques soignantes

  • Prévention des escarres;
  • Prévention des chutes;
  • En partenariat avec la HeDS, «Le tour de lit aux soins intensifs : activité de l’infirmière en situation dynamique» soutenu par le Fonds national suisse.

Accompagnement et conseils méthodologiques
Aider les cadres et  équipes soignantes dans leurs projets de recherche et d’amélioration de la qualité (documents d’information destinés aux patients; cellule douleur pédiatrie, par exemple). 

Participation à des projets interdisciplinaires d’évaluation et d’amélioration de la qualité des soins

  • Engagement auprès de programmes ou projets institutionnels : réseau douleur; sécurité du patient et site opératoire; réduction des complications liées aux cathéters veineux centraux.
  • En collaboration, avec le service Qualité des Soins de la direction médicale, analyse des incidents et faits graves liés aux soins et développement de la gestion informatique des déclarations d’incidents dans la perspective du retour d’expérience. 

 

Médecin chef et chercheur

$
0
0

avec Pr Karl-Heinz Krause - Médecin chef et chercheur. Il assure l’organisation, la coordination et la supervision des activités médicales, paramédicales et soignantes de la clinique.

Du sanf neuf pour Artères

$
0
0

Depuis le 19 mars, la fondation Artères a officiellement une nouvelle secrétaire générale en la personne de Madame Stéphane Couty.

Stéphane Couty est depuis toujours absolument et complètement passionnée par la recherche. Petite, elle voulait trouver la façon de planter des radis sur la lune, via des études d’agronomie. Elle découvre, en cours de cursus, la génétique et s’embarque dans cette voie. De Paris à Genève, en passant par Lausanne – où elle défend une thèse en immunothérapie sur le cancer du colon en 1998 –, elle manie la pipette. Qu’elle finira par poser en 2001 pour devenir adjointe scientifique du Doyen de la Faculté de médecine de l’Université de Genève : elle a réalisé qu’elle pouvait faire plus encore pour la recherche hors de son labo.
Douze ans, trois doyens et plusieurs chantiers menés à bien plus tard – dont le Centre de recherche clinique HUG-Faculté de médecine –, elle prend la tête de la fondation Artères. Elle succède à Séverine Hutin, devenue directrice de la Communication des HUG, et à Pierre-Antoine Gobet, passé directeur adjoint du Département de l’environnement urbain et de la sécurité à la Ville de Genève.
Son enthousiasme pour la recherche est intact, de même que son admiration pour la qualité des chercheurs du cru et leur travail. Stéphane Couty voit en Artères un moyen de soutenir les chercheurs, de les aider à trouver des fonds, d’alléger leur charge administrative et de faire le lien avec la Cité et les mécènes. Elle considère Artères comme un catalyseur, une interface entre les gens qui veulent aider la recherche et ceux qui la font. Avec la précieuse garantie que chaque franc donné ira directement, et sans overhead, au financement d’un projet. L’amélioration du confort des patients, qui participe à l’excellence des HUG, tient bonne place dans sa vision.
Stéphane Couty a comme projet de montrer aux habitants de la Cité combien leur hôpital et leur Faculté de médecine de l’Université de Genève sont actifs pour leur permettre d’accéder aux meilleurs traitements et combien ils excellent dans leur domaine. Et son enthousiasme est contagieux…
Carlo Lamprecht,
Président du Conseil de la fondation Artères

Artères est une fondation à but non lucratif, privée et indépendante, dont la mission est de soutenir la recherche médicale et le confort des patients à l'hôpital. Créée en 2007 à l’initiative des HUG et de la Faculté de médecine de l’Université de Genève, Artères cherche à réunir – auprès de privés, d’entreprises ou de fondations – les fonds nécessaires au financement de projets non couverts par les budgets courants au sein de ses deux institutions créatrices. La fondation finance tant des petits que des grands projets et est principalement active dans trois domaines : la recherche médicale, l'amélioration du confort patient et les projets humanitaires.

Le Professeur Dietrich, responsable du centre d'oncologie des HUG, nommé Cancer Researcher of the Year aux USA

Recherche

$
0
0

Axes de recherche

  • Les activités de recherche du SMI-R des Trois-Chêne sont en lien avec la réponse aux médicaments antiplaquettaires, fréquemment prescrits aux sujets âgés, dans le cadre du Geneva Platelet Group.
  • Les autres axes de recherche concernent les stratégies diagnostiques et la décision médicale ainsi que des collaborations avec des projets de recherche clinique de l'hôpital des Trois-Chêne.

Publications

Voir la liste des publications du service

Recherche

$
0
0

Au cours de ces 30 dernières années, le service de l'enseignement thérapeutique pour maladies chroniques a développé une approche psycho-pédagogique humaniste et innovante, destinée aux patients souffrant de maladies chroniques. Cette approche a permis d’améliorer leur qualité de vie et de diminuer leurs complications de 80 %.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu cette approche devenue depuis lors "éducation thérapeutique" et a nommé le service, centre collaborateur de l'OMS depuis 1983.

Soutiens et collaborations

Les Hôpitaux universitaires de Genève soutiennent largement l'équipe interdisciplinaire de cliniciens du service. Par ailleurs, la Faculté de médecine de Genève permet le déoulement d'un programme de formation continue en éducation thérapeutique sanctionnée par un diplôme universitaire. Les recherches métaboliques, hormonales, psychologiques, pédagogiques et en art-thérapie sont soutenues par plusieurs fonds nationaux, européens et fondations privées.

Les nombreuses collaborations internationales développées par le service permettent aux équipes d’intégrer toutes les axes de recherche et de les adapter directement chez les patients obèses, diabétiques et souffrant parfois de troubles du comportement alimentaire.

 

Domaines de recherche

Le service permet d'intégrer toutes les facettes des recherches fondamentales, cliniques et psycho-pédagogiques. Elles sont appliquées directement chez les patients afin d'améliorer leur qualité de vie et l'observance thérapeutique, et de réduire leurs complications. En ce sens, le service propose une recherche multidisciplinaire novatrice et unique par sa diversité et par son application clinique.
 
Les équipes travaillent dans le domaine de la recherche en diabétologie et obésité depuis plus de 25 ans pour mieux comprendre aujourd’hui les mécanismes de résistance à la perte de poids. Les recherches menées dans le domaine du métabolisme ont ainsi permis de découvrir que nous ne sommes pas « égaux face à la calorie », en raison d’une économie d’énergie, d’un défaut de la régulation du système nerveux autonome et d’une résistance à l’insuline. Cette résistance à la perte de poids est aussi étudiée pour améliorer les changements de comportement dans le domaine de la psychologie, la pédagogie et même en art-thérapie. La motivation au changement de comportement est une difficulté majeure en clinique et les recherches menées par le service permettent là-aussi d’innover dans de nouvelles approches psycho-pédagogiques.

Les programmes de recherche du service comprennent les axes suivants:

Ces différents travaux ont donné lieu à de nombreuses publications.

 

Symptomatologie anxio-dépressive

$
0
0

Le service étudie l’évolution de la symptomatologie anxio-depressive chez les parents prenant part à une psychothérapie brève centrée sur la parentalité :

Investigateur principal : Nathalie Nanzer

Co-Investigateurs : Ana Sancho Rossignol, Amir Moayedoddin, Isaline Ruata, Beat Stoll.

Equipe thérapeutique : Eve Ifkovits, Anne Spira, Geneviève Vaudan.

L’anxiété et la dépression durant la grossesse et l’année qui suit la naissance d’un enfant sont à l’origine d’importants stress dans la vie de la famille et dans les relations parent-enfant. En moyenne, 15% des femmes enceintes et 13% des femmes qui ont accouché souffrent de dépression, ce qui en fait la complication la plus fréquente de la période postnatale. L’impact négatif majeur de ces troubles sur la relation mère-enfant et sur le développement socio-émotionnel et cognitif de l'enfant a été largement démontré : réactions d’ordre relationnel et psychosomatique, troubles du comportement (5 fois plus fréquent chez ces enfants), troubles de l’humeur, difficultés sociales ou scolaires. Dans les cas les plus graves, les enfants souffrent de carences, de négligence, de maltraitance ou de troubles envahissants du développement. Le dépistage et le traitement précoce de ces troubles périnataux constituent des éléments préventifs essentiels de nombreuses pathologies infantiles et relationnelles parents-enfants.

L’expérience clinique auprès de femmes souffrant de dépression périnatale montre que leur souffrance psychique est en lien avec des conflits internes non résolus. Ces conflits sont le plus souvent liés aux représentations qu’elles ont gardées de leurs propres parents et d’elles-mêmes en tant qu’enfant. Ces conflits sont réactualisés de manière aiguë au moment où elles accèdent à la maternité et déjà durant la grossesse. Le service étudie depuis plusieurs années les pathologies de l'enfant découlant de ces problèmes relationnels. Ces travaux ont permis de développer une technique de consultations thérapeutiques brèves mère-enfant, d'approche psychodynamique : les « thérapies brèves mère-bébé », conçues par B. Cramer et ses collaborateurs et dont les effets sur la relation mère-enfant et sur les symptômes de l’enfant ont été démontré dans plusieurs études.

Les thérapies mère-bébé permettent de soulager l’enfant des projections maternelles et d’aider la mère à accéder à des identifications plus positives, ce qui favorise l’amélioration des relations et la réduction des symptômes de l’enfant. Cette approche « mère-bébé » a été adaptée pour pouvoir être utilisée durant la grossesse déjà ou en l’absence de l’enfant, sous forme de « psychothérapie brève centrée sur la parentalité ».

Par cette étude, le service souhaite évaluer l’importance des symptômes thymiques auprès des jeunes mères et futures mères consultant à la Guidance infantile, puis étudier leur évolution après la prise en charge. L’équipe mesure également les représentations que la femme a de son enfant et d’elle-même en tant que mère, la relation mère-enfant, le développement de l’enfant.  

Le recrutement a eu lieu entre octobre 2009 et octobre 2010 auprès des parents consultant la Guidance pour eux-mêmes ou pour leur enfant à naître ou âgé de moins d’un an.


La recherche pour sauver des vies

$
0
0

Le centre d'oncologie mène une importante activité de recherche qui fait partie intégrante de sa mission.

Ses domaines de recherche principaux sont les suivants:

Tumeurs du cerveau : l’espoir de l’immunothérapie

Les tumeurs du cerveau sont mal connues du public. Pourtant, elles sont la première cause de mortalité par cancer chez l’enfant, la troisième cause chez l’adulte jeune. Les traitements actuels ne parviennent pas à enrayer leur évolution qui est non seulement fatale, mais aussi dévastatrice. En effet, ces tumeurs se développent dans les zones du cerveau qui contrôlent nos émotions et nos sens ou encore nos capacités à marcher, parler, écrire, sentir, aimer, penser. Ainsi les malades de tout âge et leurs familles affrontent une double épreuve, celle d’une maladie cancéreuse fatale et celle de la dégradation de l’individu dans ses fonctions humaines, avec une perte de l’autonomie et des fonctions essentielles ou encore l’apparition de troubles du comportement.

Il est urgent de trouver de nouvelles stratégies thérapeutiques. La plus prometteuse est probablement l’immunothérapie dont le but global est d’exploiter les capacités naturelles de notre système de défense appelé système immunitaire. Au cours des dix dernières années, notre équipe a grandement contribué à comprendre comment notre système immunitaire peut nous défendre contre la croissance des tumeurs dans le cerveau et comment ce système de protection peut être mis en défaut par la tumeur. Notre objectif d’aujourd’hui est d’exploiter ces nouvelles connaissances pour développer de nouvelles stratégies de traitement applicables à l’être humain.

Deux approches complémentaires seront menées en parallèle chez les patients souffrant d'une tumeur au cerveau:

  • La vaccination, dont les premiers tests chez l’être humain débutent dans le monde grâce aux récents résultats obtenus à Genève. Nous avons en effet identifié 10 antigènes de gliomes, qui sont des fragments de protéines présents à la surface des cellules tumorales, mais peu ou pas à la surface des cellules normales du cerveau. Les lymphocytes T, cellules du système immunitaire, sont capables de reconnaître ces antigènes et détruire ainsi les cellules tumorales qui les portent, tout en épargnant les cellules normales (et minimisant ainsi les risques de toxicité). Ces antigènes sont actuellement utilisés dans une 1re génération de vaccins thérapeutiques afin de déclencher une réponse du système immunitaire qui cible sélectivement les cellules sans attaquer les cellules normales. L’étape suivante (déjà en développement) est d’exploiter cette piste et de « fabriquer » des vaccins personnalisés, c'est-à-dire différents pour chaque patient en fonction des caractéristiques précises de sa tumeur. Ce projet ambitieux entre dans le cadre d’un vaste projet européen dont l’étude clinique (pour les patients) sera coordonnée par Genève dès 2014.
  • La thérapie cellulaire, où l’on utilise les cellules comme un médicament, en préparant les lymphocytes au laboratoire afin qu’ils reconnaissent sélectivement la tumeur et qu’ils soient capables d’atteindre leur cible dans le cerveau après avoir été perfusés au patient. Cette deuxième approche est plus complexe, mais avec un potentiel thérapeutique remarquable.

Tous les ingrédients sont présents au sein des HUG pour assurer le succès de ce projet ambitieux. Tout d’abord, ce développement de tests chez les patients est soutenu par l’équipe de scientifiques qui dynamisent le laboratoire d’immunologie des tumeurs du service d’oncologie depuis plus de quinze ans. Ce socle scientifique permettra l’intégration rapide et constante de toutes les nouveautés conceptuelles dans les traitements en développement. De plus, le centre d’oncologie a récemment ouvert une unité dédiée à l’administration de nouveaux médicaments et aux premières étapes de nouvelles stratégies de traitement chez l’homme (deuxième de ce type en Suisse). Cette structure apporte la professionnalisation indispensable pour la réalisation de ces étapes initiales très délicates et demandant un savoir-faire particulier. Enfin, les HUG ont récemment ouvert un centre de thérapie cellulaire qui permet de préparer les cellules-médicaments dans des conditions très strictes répondant aux exigences suisses et internationales (1er centre en Suisse romande).

Il s’agit d’un projet ambitieux, qui cependant offre une réponse au formidable défi posé par les tumeurs du cerveau et apporte un espoir très concret aux patients souffrant de ce fléau et à leurs familles.

Responsables : Dr Paul R Walker et Pr Pierre-Yves Dietrich

                                                                        


 

Symptomatologie anxio-dépressive et périnatalité

$
0
0

Le service étudie l’évolution de la symptomatologie anxio-depressive chez les parents prenant part à une psychothérapie brève centrée sur la parentalité :

Investigateur principal : Nathalie Nanzer

Co-Investigateurs : Ana Sancho Rossignol, Amir Moayedoddin, Isaline Ruata, Beat Stoll.

Equipe thérapeutique : Eve Ifkovits, Anne Spira, Geneviève Vaudan.

L’anxiété et la dépression durant la grossesse et l’année qui suit la naissance d’un enfant sont à l’origine d’importants stress dans la vie de la famille et dans les relations parent-enfant. En moyenne, 15% des femmes enceintes et 13% des femmes qui ont accouché souffrent de dépression, ce qui en fait la complication la plus fréquente de la période postnatale. L’impact négatif majeur de ces troubles sur la relation mère-enfant et sur le développement socio-émotionnel et cognitif de l'enfant a été largement démontré : réactions d’ordre relationnel et psychosomatique, troubles du comportement (5 fois plus fréquent chez ces enfants), troubles de l’humeur, difficultés sociales ou scolaires. Dans les cas les plus graves, les enfants souffrent de carences, de négligence, de maltraitance ou de troubles envahissants du développement. Le dépistage et le traitement précoce de ces troubles périnataux constituent des éléments préventifs essentiels de nombreuses pathologies infantiles et relationnelles parents-enfants.

L’expérience clinique auprès de femmes souffrant de dépression périnatale montre que leur souffrance psychique est en lien avec des conflits internes non résolus. Ces conflits sont le plus souvent liés aux représentations qu’elles ont gardées de leurs propres parents et d’elles-mêmes en tant qu’enfant. Ces conflits sont réactualisés de manière aiguë au moment où elles accèdent à la maternité et déjà durant la grossesse. Le service étudie depuis plusieurs années les pathologies de l'enfant découlant de ces problèmes relationnels. Ces travaux ont permis de développer une technique de consultations thérapeutiques brèves mère-enfant, d'approche psychodynamique : les « thérapies brèves mère-bébé », conçues par B. Cramer et ses collaborateurs et dont les effets sur la relation mère-enfant et sur les symptômes de l’enfant ont été démontré dans plusieurs études.

Les thérapies mère-bébé permettent de soulager l’enfant des projections maternelles et d’aider la mère à accéder à des identifications plus positives, ce qui favorise l’amélioration des relations et la réduction des symptômes de l’enfant. Cette approche « mère-bébé » a été adaptée pour pouvoir être utilisée durant la grossesse déjà ou en l’absence de l’enfant, sous forme de « psychothérapie brève centrée sur la parentalité ».

Par cette étude, le service souhaite évaluer l’importance des symptômes thymiques auprès des jeunes mères et futures mères consultant à la Guidance infantile, puis étudier leur évolution après la prise en charge. L’équipe mesure également les représentations que la femme a de son enfant et d’elle-même en tant que mère, la relation mère-enfant, le développement de l’enfant.  

Le recrutement a eu lieu entre octobre 2009 et octobre 2010 auprès des parents consultant la Guidance pour eux-mêmes ou pour leur enfant à naître ou âgé de moins d’un an.

Recherche en néonatologie

$
0
0

Par son activité de réanimation néonatale en salle d’accouchement, l’unité de néonatologie intervient au début de la vie, à une période à très haut risque de mortalité et morbidité.

Une importante collaboration avec l’obstétrique d’un côté et toutes les spécialités pédiatriques de l’autre caractérisent le collectif périnatal des études menées par le service et ses collaborations.

Etudes en cours

  • Indicateurs de sécurité pour la réanimation néonatale : cette étude de cohorte étudie le type d’interventions et leur sécurité en salle d’accouchement.
  • Etude PLEXID : cette étude cherche à valider une méthode de détection de germes dans de très petites quantités de sang, ce qui serait plus approprié pour des nouveau-nés prématurés ou à terme.
  • Etude CYSTATINE C : cette étude cherche à valider une méthode simplifiée d’évaluation de la fonction rénale du nouveau-né.

Etudes récemment terminées

  • Etude EPO : cette étude randomisée contrôlée multicentrique suisse a testé l’érythropoïétine à haute dose en tant que neuroprotecteur pour l’enfant prématuré.
  • Etude ACTIFEED III : cette étude randomisée contrôlée a porté sur les bénéfices d’une stimulation péri-orale sur l’acquisition de certaines fonctions orales, en particulier l’alimentation active, ainsi que sur la durée d’hospitalisation.
  • Etude eCS : cette étude rétrospective de cohorte a analysé les effets de la césarienne avant et après le début du travail sur la morbidité néonatale en fonction de l’âge gestationnel.
  • Vaccination de l’enfant prématuré : cette étude de cohorte s’est intéressée à la tolérance vaccinale chez l’enfant prématuré.
  • Etude HEMONAT : cette étude prospective effectuée sur le sang du cordon ombilicale a étudié une méthode pour l’analyse de la coagulation du sang du bébé en utilisant une quantité inférieure de sabs.

Recherche en soins intensifs pédiatriques

$
0
0

Les soins intensifs ont pour vocation de soutenir la fonction des organes défaillants. C’est pourquoi l’unité de soins intensifs pédiatriques mène plusieurs projets de recherches dans des domaines différents.

L’équipe de l’unité s’intéresse en particulier à l’amélioration des modes de ventilation mécanique, à l’évaluation de l’hémodynamique et aux interactions entre le système cardio-circulatoire et le système respiratoire, aux transfusions de produits sanguins, à la microcirculation, et au métabolisme dans des situations de stress.

Etudes en cours

  • Etude NAVAet l’utilisation du signal diaphragmatique pour le monitorage respiratoire : Plusieurs études sont en cours pour étudier l’utilité est différent aspect clinique d’un nouveau mode de ventilation « NAVA » principalement  pour l’optimalisation de la synchronisation entre le patient et le ventilateur. De plus nous nous intéressons à la possibilité et l’utilité de l’analyse de la force respiratoire du patient  pendant la phase de dé-ventilation sous différents modes ventilatoires.
  • Etude épidémiologique sur les transfusions de plasma : cette étude, pilotée par Genève et pratiquée dans une soixantaine de centres dans le monde, vise à évaluer les raisons qui conduisent à la prescription de transfusion de plasma, et aux effets de celle-ci. Pour en savoir plus, consultez le site internet de Plasma Transfusion.
  • Etude sur l’effet des transfusions de plasma après une greffe hépatique : cette étude vise à évaluer l’effet des transfusions de plasma, en particulier sur les taux d’antithrombine, un facteur de coagulation qui est réduit après une transplantation hépatique.
  • Etude sur la coagulation après transplantation hépatique : cette étude évalue les anomalies de la coagulation après une transplantation hépatique, puisqu’un déséquilibre entre les facteurs procoagulants et anticoagulants conduit à des complications sévères après la transplantation.
  • Etude sur la microcirculation : cette étude vise à évaluer les changements qui s’opèrent dans les capillaires sanguins, dans plusieurs conditions (après une chirurgie cardiaque, pendant une infection, etc.)
  • Métabolisme après chirurgie cardiaque: cette étude évalue les effets de l'opération cardiaque (avec tous les dispositifs nécessaires pour maintenir un débit sanguin après l'arrêt du coeur) sur le métabolisme du sucre.
  • Survie après réanimation assistée par ECMO: cette étude évalue la survie après réanimation pendant laquelle on a mis en place une machine permettant de faire circuler le sang et de l'oxygéner.

Recherche

Viewing all 221 articles
Browse latest View live